Je n’ai pas la prétention de faire de belles photos avec mon appareil. Je ne suis pas sur Instagram non plus. Par contre, quand je regarde certaines des photos que j’ai prises lors de mes voyages en 2015, certaines m’interpellent encore. Voici quelques-uns de mes moments forts de l’année.
Au château de Prague, en République tchèque, j’ai été captivée par cet aigle royal. Cela aurait pu mal se passer, car j’ai touché à ses pattes. Quand la responsable du refuge d’oiseaux m’a vue faire, elle s’est écrié : « No, don’t touch that, it’s very dangerous! » Je me compte chanceuse d’avoir encore mon bras droit… une seule griffe peut te l’arracher en quelques secondes. Et son bec, alors?
À Cozumel, j’ai réalisé un rêve : nager avec les dauphins. Voyez le bonheur dans mes yeux. La sensation de puissance quand il nous tire sur son dos, c’est unique!

Moment de rire intense dans un parc national du Honduras. Ce perroquet semble apprécier beaucoup les boutons. On le voit ici arrachant le bouton de la casquette à mon conjoint.

Au tour à Pierre de rire de moi. Ce gentil petit singe m’a littéralement fait pipi dessus! Peut-être voulait-il marquer son territoire?

Croisière de soir sur le bord du Danube. Le parlement de Budapest, en Hongrie, dans toute sa splendeur.

Autre croisière. Cette fois-ci, dans la vallée de Wachau, lors de notre visite à Vienne. Des châteaux comme ceux-ci n’ont pas de prix. Des paysages fabuleux dans la campagne autrichienne.

Pourquoi cette photo de tombe? Parce que celle-ci est différente : elle est réutilisable. Eh oui! Pour économiser des coûts d’enterrement, les Viennois d’autrefois utilisaient ce genre de système au fond ouvrable. Une fois dans le trou, on n’avait qu’à ouvrir la trappe et le mort tombait dans la fosse. Next!

Restons dans le macabre. À Budapest, en Hongrie, nous avons visité la Maison de la Terreur. Cellule où les Croix fléchées (nationalistes-socialistes hongrois) et les Nazis torturaient et exécutaient les prisonniers lors de la Deuxième guerre mondiale. Sur le mur du fond, on peut voir les outils de torture.

L’hôtel où nous avons logé à Budapest: le Corinthia Hôtel Budapest. Pour ceux qui ont visionné le film « L’hôtel Grand Budapest », sachez que c’est l’histoire de cet hôtel qui y est racontée. Il a été construit en 1896 et portait le nom de « Grand Hotel Royal ». On a conservé la grande piscine au sous-sol.

Ma photo préférée parmi toutes les autres. Je l’ai captée sur le vif dans le centre-ville de Vienne. Les nettoyeurs de rue suivaient la fin du défilé de la fierté gaie… et ils la soutenaient, sans aucun doute.
J’ai hâte de voir ce que me réservent mes voyages de l’année 2016. Munie d’un nouvel appareil-photo, j’ose croire que la qualité de mes photos en sera augmentée. C’est à voir…