Le Duomo de la cathédrale Santa Maria del Fiore. Majestueux est le mot qui nous vient spontanément.

Aux jardins de Boboli, à Florence

Tout en haut des jardins de Boboli, des pivoines, et une vue spectaculaire sur la Toscane environnante.

Ce profil à la crinière de cèdre…

Dans les canaux de Florence, il y a aussi des rameurs du dimanche.

Un artiste de rue qui manie la craie à la perfection.

Paraît-il que toucher le sanglier porte bonheur.

Notre chambre à la Fattoria di Rignana, en Toscane (Italie).

Visite à Antinori, un vignoble producteur, entre autres, du Chianti Classico.

À Greve in Chianti, en Toscane, il n’y a pas que du bon vin…

Qui croirait que cette maison, entourée de gravier, abrite le meilleur restaurant de Toscane? C’est pourtant vrai. La Cantinetta di Rigana est reconnue internationalement.

À la Cantinetta di Rignaga, on y boit la meilleure grappa aux fraises jamais produite. En plus, elle est servie à volonté après le repas! Heureusement, notre auberge se trouvait juste à côté.

San Gimignano est un village médiéval du XIe siècle où les tours nous tournent autour et les murs de pierre réchauffent l’air.

Il fait plutôt chaud, dans ces hauteurs. Quelle vue!

Regard grandiose sur la Toscane à San Gimignano.

À Sienne, visite de plusieurs cathédrales très bien conservées. Ici, des oeuvres magnifiques en bois tapissent le plancher.

La Piazza del Campo à Sienne. C’est là que se tiennent, deux fois par été, le Palio, course de chevaux sans selle.

Notre départ en bateau de Venise. On y reviendra, c’est promis!

À une heure et demie d’autobus de Koper. Capitale de la Slovénie, Ljubljana compte 200 000 habitants, des gens sympathiques; la plupart parlent l’anglais.

Le 17 mai, c’était jour de chance pour les pauvres. Les riches amassaient de l’argent pour eux en vendant des pointes d’un immense gâteau. Malheureusement, je n’ai pas eu le temps d’y goûter.

Rue typique de la Slovénie.

Trois canaux principaux traversent Ljubljana. Trop coquet…

À Split, en Croatie, on se serait cru dans le temps des Romains d’Astérix.

Split, une ville d’histoire où les maisons ancestrales de la vieille forteresse continuent d’être habitées malgré les milliers de touristes venus voir les ruines datant de 300 ans avant Jésus-Christ.

Restaurant à retenir si vous allez à Split. À côté du marché au poisson, ils servent les meilleurs plats de poisson en ville, à un prix très raisonnable. Attention, ils n’acceptent pas l’euro.

Les bouches de Kotor, au Monténégro. Montagnes spectaculaires qui protègent de petits villages. Très petit pays encerclé par la Serbie, la Bosnie-Herzégovine, la Bosnie, l’Albanie et la Croatie.

Mosaïque datant de 200 ans av. J.-C. demeurée presque intacte malgré les guerres et les tremblements de terre.

Les fortifications romaines semblent avoir été creusées à même le roc. Une visite au Monténégro vous laisse pantois. Mon coup de cœur.

Hrsahvska de son vrai nom. Dubrovnik, en Croatie, offre un spectacle magique à nos yeux. Cette immense muraille entourant la vieille ville a été érigée du XIIIe au XVIe siècle. Elle fut détruite en partie par un gros tremblement de terre en 1667 et a subi les assauts de la Serbie, de l’Herzégovine et de la Slovénie avec plus de 2 000 bombes tombées. On y voit encore certains trous de boulets dans les murs.

Photo qui me fait penser à mon petit Bongo, mon perroquet gris d’Afrique.

Dubrovnik accueille chaque année 4,5 millions de visiteurs. En mai, nous avons pu éviter la période la plus achalandée de l’année. On comprend pourquoi l’UNESCO fournit de l’argent pour la reconstruction des forteresses.

On reconnaît facilement Dubrovnik à ses toits en tuile rouge.

Corfu, en Grèce. Je m’attendais à mieux, honnêtement. Le long du trottoir longeant le bord de l’eau pour se rendre à la vieille ville, tout est gris et sans vie. La ville est malpropre. Malgré tout, on peut y voir de beaux jardins et de vieilles fortifications.

Corfu possède aussi un charme pour les adeptes de navigation.

Une visite au palais d’Achille, où l’impératrice d’Autriche, Sissi, aimait venir se reposer durant l’été. Elle y vivait avec son mari, le roi de Hongrie, jusqu’à ce qu’elle soit assassinée.

Olympie, à Katakolon, est l’endroit où se tenaient les premiers jeux olympiques au monde. Il en reste des ruines, car plusieurs monuments ont été touchés par des tremblements de terre.

Le stade olympique. Un terrain en terre qui mesure 600 pieds de longueur. Les coureurs de l’époque (4 à 6 siècles av. J.-C.) allaient, nus, et buvaient de l’urine de cheval pour augmenter leur taux de testostérone.

Une visite du vignoble Mercouri Winerie nous fait découvrir la campagne grecque et des gens plus sympathiques qu’en ville. On a rapporté deux bouteilles d’un excellent vin blanc. Preuve que les Grecs ne cueillent pas seulement des olives.

L’île de Malte, en plein milieu de la mer Méditerranée. Depuis 2004, elle est devenue membre de l’Union européenne. C’est probablement un des endroits qui reçoit le moins d’eau de pluie au monde, avec 60 cm par année. L’église Maria de Mostra a été bombardée lors de la 2e guerre mondiale par une bombe qui n’a jamais éclaté. Résultat : le miracle que l’on voit devant nos yeux.

La forteresse de Mdna (se prononce Médina) nous offre une vue magnifique des environs. Fait partie des trésors de l’UNESCO.

Valletta, à Malte, est une ville propre. On y mange bien également. On peut y voir le moderne (ici, l’ascenseur) s’harmoniser au décor plus ancien.

Vue imprenable des abords de la Méditerranée au sommet de la forteresse à Valletta.

Catania, en Sicile. Des cathédrales apparaissent à tous les coins de rue. Un conseil : prendre un tour guidé en autobus « hop on hop off » et ensuite marcher dans les rues. Plusieurs beautés sont là, tout près.

De la ville de Catania, on aperçoit le mont Etna, qui continue à démontrer des signes d’éruption imminente. La ville a déjà été détruite plusieurs fois par la lave fumante.

À Ravenne, en Italie, le musée TAMO au Complesso di San Nicolo propose plusieurs merveilleuses mosaïques quasi intactes du Ve et VIe siècle.

Ravenne se visite très bien à pied, par ses propres moyens. On aperçoit ici la Cripta Rasponi, qui est située à côté du Museo Dantesco où se trouve la tombe de Dante.

Nous voilà de retour à Venise, où tous les transports se font par bateau. Le palais des doges est probablement l’attrait touristique le plus prisé des touristes. Visiter ce palais donne aussi des sueurs froides quand on descend dans l’ancienne prison, à droite, après avoir passé le pont des soupirs.

Gondoles et vaporettos naviguent en ces eaux vénitiennes.

Le pont du Rialto, si bien connu des touristes, est toujours bondé.

L’immense place San Marco, l’endroit probablement le plus fréquenté par les Vénitiens et les touristes. Les pigeons y sont encore nombreux.

Vue par un interstice du pont des soupirs. Les prisonniers de l’époque voyaient pour la dernière fois les flots bleus avant de mourir de froid ou de chaleur.

À Venise, on peut aussi assister à des spectacles de rue à l’italienne. Un pur bonheur, quand on déguste une bonne pizza sur une terrasse avec un verre de vin.

Venise est réputée pour son verre de Murano. Tous les objets sont donc reproduits en verre, de toutes les couleurs imaginables. Certains s’amusent même à en faire en forme de pénis. Y a-t-il un marché pour ça? Il faut croire que oui!

Venise, la sérénissime. Son nom vient probablement de la sérénité qui se dégage de ses lieux. Ses jolis canaux, ses gondoles, son peuple accueillant, sa nourriture exquise, ses maisons typiques en font une destination unique.

Il Teatro Felice… le plus vieux théâtre de Venise. Il compte 15 rangées de sièges seulement, mais 5 étages de balcons privés. Nous avons assisté à l’opéra La Bohème dans l’un d’eux. Un souvenir qui sera longtemps gravé dans ma mémoire.

Un aperçu de ce qui vous attend…