Buenos Aires et Antarctique en temps prépandémique

COVID-19 oblige, mon confinement ne s’est pas appliqué qu’à ma seule présence physique en société, mais s’est propagé aussi à ma présence sur les médias sociaux. Résultat : j’ai été absente dans toutes les sphères de mon ancienne normalité, me déconnectant presque du monde, surtout celui du voyage.

Comme la plupart d’entre vous, j’ai arrêté de voyager, et même d’en avoir le goût. Depuis presque un an, j’ai travaillé tant que je me demandais si un jour j’aurais à nouveau des loisirs. Plusieurs ont perdu leur emploi, moi j’ai gagné le gros lot en ce qui concerne le travail. Même si mon père et mon chien m’ont quittée pour un monde meilleur en 2020, je me compte très chanceuse, car je n’avais que très peu de clients dans le domaine du voyage (tout à fait paradoxal, d’ailleurs, moi qui « trippe » sur les évasions touristiques). Aujourd’hui pourtant, j’ai pu souffler un peu, ce qui m’a permis de retracer un billet que j’avais commencé au début de l’année, mais que je n’avais jamais publié. Mes photos les plus réussies de 2019 me rappellent combien la vie est belle et qu’il faut s’y accrocher pour ne pas sombrer. Je vous les offre en toute modestie, en espérant qu’elles vous feront rêver à des temps meilleurs.

Antarctique

Ces deux blocs de glace en têtes de dinosaures
Journée idyllique en Antarctique
Nous voici, Pierre et moi, en avant à droite, avec le groupe d’animateurs du Celebrity Eclipse, le plus gros navire à avoir fait la traversée de l’Antarctique
Paradise Bay, la porte de l’Antarctique
David devant Goliath
Passager regardant à l’horizon alors que le soleil reflète ses rayons sur l’eau glaciale de l’Antarctique
Certaines n’ont pas froid aux yeux quant il s’agit d’immortaliser le moment
Deux épaulards venant vers nous
Paysages à couper le souffle

Buenos Aires, Argentine

Quartier des artistes
Cimetière de la Recoleta où est enterrée Eva Perron (Evita)
Fleur en métal Floralis Generica, symbole de Buenos Aires, au Parc des Nations unies
Jardin chinois en plein Buenos Aires
Ce jour-là, des policiers de l’escouade anti-émeute se trouvaient au centre de la ville, car une manifestation pacifique avait lieu.
Pour traverser, il a fallu enjamber les manifestants assis devant l’hôtel de ville historique Cabildo.
La Casa Rosada (maison rose) dans le quartier historique
L’amoureuse des perroquets en moi n’a pu s’empêcher de photographier ces Quaker en liberté
La vétusté côtoie la modernité à Buenos Aires
Estancia El ombu de Areco
Petite tournée à cheval au ranch. Magique!
Après avoir fait de l’équitation, les chevaux se reposent.
Danseur argentin
La seule et unique photo de mon amoureux qui danse
Comment hypnotiser un cheval
Après un an d’entraînement, on arrive à ce résultat.
Famille argentine heureuse d’accueillir des touristes sur son ranch et de leur montrer ses coutumes
On penserait que l’eau est très polluée, mais non, ce phénomène est dû à des sédiments se trouvant au fond de l’eau.
Croisière sur le fleuve le plus large au monde, le Rio de la Plata, qui sépare l’Argentine de l’Uruguay
Drapeau de l’Argentine

Vous voulez voir plus de photos de ce voyage? Ne manquez pas la deuxième partie, où je vous amènerai à Montevideo (Uruguay), à Puerto Madryn et Ushuaïa (Argentine) et aux îles Malouines, paradis des manchots.

Pour en apprendre plus sur l’Antarctique, lisez mon billet Voyage en Antarctique!

2 réflexions sur “Buenos Aires et Antarctique en temps prépandémique

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